La Légende de McNeil, version révisée et réécrite de la novella fantastique de Jonathan Reynolds

par Jonathan Reynolds

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Ç’a commencé avant la mort du vieux McNeil.
Henry McNeil qu’il s’appelait. Il habitait ici. Juste là, dans la maison. Ça pis la grange, c’est tout ce qui reste de la ferme. On veut oublier ce qui s’est passé, mais le sang, ça prend du temps à disparaître…

Né à Bromptonville, Jonathan Reynolds écrit des histoires de peur depuis son enfance. À ce jour, il a publié une douzaine de livres d’épouvante (romans, romans jeunesse, recueils de nouvelles) chez différents éditeurs ainsi qu’un bon nombre de nouvelles dans plusieurs revues et fanzines spécialisées (Solaris, Alibis, Brins d’éternité…)

Une novella de fantastique de Jonathan Reynolds
Illustration de François Pierre Bernier
Direction littéraire de Mathieu Fortin
ISBN-13 : 978-2-923864-16-7
13 ans et +
154 pages
5$

Catalogue

Ce que l’on dit de La Légende de McNeil

En nomination aux Prix Aurora / Boréal 2014.

« [..] Dans cette réédition d’une nouvelle publiée en 2008, Jonathan Reynolds nous prouve une fois encore son talent de conteur. En alternant le passé et le présent, il laisse lentement émerger le cauchemar vécu par trois adolescents, confrontés au terrible sorcier McNeil, en plus de démontrer à quel point le mal est patient et peut
prendre des chemins détournés pour nous atteindre, et ce, au plus profond de notre chair… Oserez-vous entrer dans la légende d’Henry McNeil? Faites attention, ou il faudra ajouter votre nom à la longue liste de ses victimes… »

– Pierre-Alexandre Bonin, Les Libraires

« La Légende de McNeil a tout du film d’horreur dont l’ambiance prend toute la place qui lui revient. À cela, il faut ajouter l’art de tisser des liens solides entre les personnages et vous aurez une bonne idée de la qualité de cette novella. »

– Martine Vignola, Gang de geeks

«Je ne suis pas très portée sur les films d’horreur ni sur les livres du même genre. Il faut dire que j’ai une imagination galopante et que j’ai ensuite de la difficulté à oublier les images perturbantes que je vois où que je m’invente en lisant. J’avais toutefois envie de découvrir cette courte novella rééditée aux Six Brumes. J’aurais pu éviter de la lire avant de dormir, me direz-vous, mais voilà : je l’ai fait quand même et, oui, j’ai été effrayée. »

Sophie Lit