par Frédéric Raymond
Prédatrice.
Le mot s’imposait à l’esprit de Christabel, qui tentait en vain de le chasser. Sa mère le lui avait répété des centaines de fois : elle était née prédatrice et elle devait agir comme telle.
Pourtant, Christabel ne se sentait pas prédatrice. Au contraire, elle avait plutôt l’impression de s’en aller à l’abattoir.
On a tous un jardin secret… et ça fait parfois du bien de le saccager.
Le jardin de Christabel respire la mort.
Chaque joie y est engraissée par des cadavres.
La vie s’y enracine dans la solitude.
Comment fuir le spectre des remords?
Jardin de chair est un roman d’horreur psychologique de Frédéric Raymond dans lequel on suit les tourments de Christabel, une jeune femme de Québec, qui cherche à échapper à son patrimoine génétique. Pleine de bonnes intentions, cannibale malgré elle, réussira-t-elle à vaincre sa nature profonde?
Roman d’horreur psychologique de Frédéric Raymond
Illustration de couverture de François Pierre Bernier
ISBN-13 : 978-2-923864-23-5
ISBN-13 ePUB : 978-2-923864-24-2
16 ans et +
174 pages
15$
Sortie en librairie le 14 octobre 2014
Pourquoi choisir Jardin de chair?
- Jardin de chair met en scène une jeune femme qui doit composer, malgré elle, avec la nécessité de manger de la chair humaine pour survivre. Dans ce récit, l’auteur mélange la psychologie humaine à une approche rationnelle et scientifique des causes et des conséquences de ce crime effroyable qu’est le cannibalisme.
- L’auteur est éditeur de La Maison des viscères, une maison d’édition spécialisée dans la littérature extrême.
- Le lectorat ciblé a 16 ans et plus, lit Patrick Senécal, des récits policiersou d’autres ouvrages mêlant horreur et psychologie humaine. Les femmes sont davantage susceptibles de s’identifier avec Christabel, une femme tourmentée par ses besoins, par la sexualité, par la vie de couple, par l’amitié et par la maternité.
Ce qu’on dit de Jardin de chair
« Les personnages sont bien développés. [..] Ça m’a plu. [..] Il y a toute une atmosphère. C’est vraiment intéressant [..] »
Pour en savoir plus, écoutez l’entrevue sur le site de Radio-Canada.
– Anne-Josée Cameron, Radio-Canada cet après-midi, 2 janvier 2015