par Mathieu Fortin
Des voix dans la nuit…Rares sont ceux qui entendent les murmures de la nuit, ces voix innombrables, basses et profondes, qui chuchotent sans arrêt des secrets et des mystères révélés en rêve au monde entier. Les Morphoses de ce recueil sont des histoires murmurées par les voix.
Le monde est changement. L’enfant devient adulte, et le vivant meurt dans un cycle perpétuel. Mais des changements plus subtils, plus étranges, voguent à la frontière entre le changeant et le changé : le mort est-il bien mort? Que retrouve-t-on de l’autre côté de la métamorphose ultime? Le corps et l’esprit sont-ils liés? Forment-ils plutôt deux entités qui se chevauchent? Et si le corps ne correspond pas à l’esprit qui l’habite, le corps peut-il changer, s’adapter, se modifier? Un homme peut-il devenir un ange? Les morts peuvent-ils communiquer avec les vivants? Les Morphoses sont-elles réversibles?
Mathieu Fortin est un prolifique auteur du Centre-du-Québec qui adore raconter des histoires terrifiantes et étranges. Auteur de plusieurs romans remarqués, il présente maintenant Morphoses, un assemblage de textes qui hantent ses nuits depuis plusieurs années.
Nouvelles fantastiques de Mathieu Fortin
Illustration de Gabrielle Leblanc
ISBN-13 : 978-2-923864-01-3
13 ans et +
220 pages
Ce titre est épuisé
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Pourquoi choisir Morphoses?
- Mathieu Fortin est récipiendaire du prix Jeune Art et Culture du Forum Jeunesse Estrie et a obtenu une mention du jury pour le Prix Cécile-Gagnon de l’ Association des écrivains québécoise pour la jeunesse.
- Depuis, Mathieu Fortin a publié six (6) autres romans jeunesse et adulte aux éditions Coups de tête, Trampoline et Z’Ailées, dont le plus notable est Le Protocole Reston, récit de zombies trifluviens paru chez Coups de tête et nominé aux Prix Aurora dans la catégorie « Meilleur roman en français ».
- Dans Morphoses, l’auteur mélange avec brio les démons issus du christianisme au folklore de la Nouvelle-France, aux terreurs des récits de Stephen King et aux passions déchirantes des femmes. Les ingrédients de fantastique et d’horreur se marient avec l’émotion, la passion et la nostalgie humaine avec une touche sucrée et salée en équilibre entre Éros (l’érotisme) et Thanatos (la mort).
Ce qu’on dit de Morphoses…
« [..] J’aime beaucoup la plume de Mathieu. Elle est originale et rafraîchissante. Il joue avec les atmosphères et la sensualité comme peu d’auteur et manipule bien les narrateurs. J’ai passé au travers du recueil en très peu de temps, il se lit très bien. Les nouvelles sont bien rythmées, on ne peut s’empêcher de s’empresser à les lire. Malgré la fatigue et mes nuits épuisantes, je me disais toujours : «Encore une, juste une. » Isabelle Simard, Insolite Univers
« Chaque nouvelle m’apportait une nouvelle émotion, un sentiment insécure et même de doute parfois. L’auteur ne manque pas d’imagination et bien des fois je me suis demandé d’où il sortait tout ces trucs! J’ai bien aimé : Cauchemar – La danse de la mer – La voiture fantôme – Fragments et La rencontre. Enfin, elles sont tous bonnes! C’est une bonne lecture et je recommande même cette chère maison d’édition les Six Brumes, si vous aimez l’horreur et le fantastique québécois! » Julie Lemelin, À coeur ouvert
« L’auteur sait comment nous plonger lentement dans son univers pour nous transporter au centre de l’action. [..] Mathieu Fortin surprend par son imagination sans bornes. Une fois la lecture entamée, il est bien difficile mettre le recueil de côté. » Céline Jodoin, Côté Blogue
«Morphoses est une belle addition […] Ainsi, je le recommande aux amateurs de fantastique et d’ambiances brumeuses. » Frédéric Raymond, Les horreurs du cryptonomiblogue
«Ce qui est intéressant par rapport à ce livre est le fait que les histoires laissent la place à des interprétations diverses et sont souvent métaphoriques.» Sebastian via le blogue de l’Université du Québec à Chicoutimi
«Chaque texte, chaque histoire semblaient s’adresser uniquement à moi, comme si l’auteur était assis devant moi et me racontait son histoire. Mathieu Fortin a un talent indéniable» Benoît Bourdeau, Quelque chose à dire