Un grand fan du blogue des Six Brumes me l’a confirmé… mon inspiration s’essoufle en même temps que mon énergie. C’est ce que ça donne de travailler 7 jours sur 7. Je vais devoir réduire ça à 6. 😉
Donc, donnant raison à ce fan – le photographe Guillaume Pratte -, je le laisse décrire à ma place une partie de l’ambiance du Salon du livre de l’Estrie :
Une réponse sur « En attendant Fortin »
Elle est bien bonne! 🙂