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Noir Azur et le choix des mots

Ce soir, j’ai pu constater que certains auteurs s’interrogeaient sur le choix des mots que j’ai utilisés pour parler du préfinancement de Noir Azur via l’outil Ulule. Je tiens donc à préciser que, si la campagne de préfinancement de Noir Azur fonctionne, nous pourrons publier le livre dès octobre ou novembre, mais que dans le cas contraire, nous pensons publier le livre au courant d’une année future, dès que nous aurons l’argent pour le faire.

L’idée d’une campagne de préfinancement est de donner les moyens à une petite maison d’édition comme la nôtre, formée de bénévoles, de publier des livres sans s’étrangler financièrement.

Bien sûr, qui dit « bénévoles » dit aussi « passionnés ». Un passionné, ça parle avec les tripes et ça fait des erreurs.

Je ne suis pas un communicateur. Je n’ai pas de baccalauréat dans l’art de ciseler les mots qui feront l’unanimité. J’ai voulu présenter la campagne de préfinancement à l’aide d’une formule que je trouvais amusante, qui rappelait l’aventure et le suspense.

J’invite tout le monde à le prendre tel quel, et à se joindre à cette nouvelle expérience collective avec une approche constructive et positiviste. 🙂

3 réponses sur « Noir Azur et le choix des mots »

Je réitère que l’idée de la prévente est excellente et j’espère, pour la longévité des Six Brumes, que ce mécanisme se répétera. Tout n’était qu’un problème de choix de termes! 😉

Effectivement, cette initiative a bien du sens. On jauge ainsi la demande du public pour le roman. Pas assez de pre-ventes, pas assez d’interet, pas de perte. Je crois que c’est une formule toute indiquee pour les 6 brumes.

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